Sur une colline boisée d’Auriac-du-Périgord, le domaine de Lalande Laborie propose des hébergements haut de gamme, tout en abritant un haras réputé.

Depuis 2021, le domaine de Lalande Laborie est devenu indissociable du château de Preyssac, tant les deux sites se révèlent complémentaires. Avant la restauration de Preyssac, la famille néerlandaise Udink, et son entreprise de rénovation à Auriac, s’étaient bien entraînées, avec la remise en valeur de divers bâtiments, qui forment aujourd’hui un réseau immobilier de gîtes tout confort. Le navire amiral de cette flotte accueillante se présente sous la forme d’une maison de maître, dont la façade, égayée par des rosiers, fait face à un jardinet traversé de murets de pierre sèche, et prolongé par un verger qui s’enfuit vers un sous-bois de chênes. De l’autre côté, la vue est plongeante, comme il se doit, sur la piscine chauffée. Sur les terrasses des deux niveaux de la maison, des rambardes en fer forgé blanc donnent à la bâtisse, érigée en 1904, d’étonnants airs de Louisiane.

Quatre belles suites sont dessinées dans les étages, et des salons intimes sont décorés pour la plupart de meubles de famille.

Quatre belles suites sont dessinées dans les étages, et des salons intimes sont décorés pour la plupart de meubles de famille rapatriés des Pays-Bas. Un confortable canapé Chesterfield provient carrément de Dubaï, où Jan Udink continue de gérer des affaires en menant de front l’entretien de ses propriétés en Périgord.

Cabanes dans les bois, chevaux dans les prés

Sur les quinze hectares du domaine, quatre vastes maisons et un petit gîte accueillent les visiteurs, qui peuvent aussi se relaxer dans un spa.

Pour être encore plus au cœur de la nature généreuse, ils peuvent également tenter l’expérience insolite des cabanes de bois sur pilotis. Lors de certains événements comme les mariages, il arrive que la totalité des logements soient privatisés, pour une délicieuse immersion dans la variété du domaine.

Sur les quinze hectares du domaine, quatre vastes maisons et un petit gîte accueillent les visiteurs, qui peuvent aussi se relaxer dans un SPA.

Un peu à l’écart des principaux bâtiments locatifs, se dresse une écurie de sept boxes, complétés par les quatre du château de Preyssac à Thenon. Ici, pas de centre équestre, mais un haras d’élite où des chevaux de concours sont formés puis sortis en compétition à partir de cinq ans. « On les débourre avec Sanne, explique Aurore, la groom du haras, puis c’est elle qui les travaille ensuite. » Sanne est la fille d’Antonia et Jan. Cavalière de renommée internationale, elle utilise ces champions à la noble allure pour ses propres concours. À partir de sept ou huit ans, la plupart sont destinés à être vendus. Cette rotation permet de mettre en valeur le domaine, d’autant plus quand ils sont montés par de grands cavaliers lors d’événements tels les Jeux Olympiques.

La réhabilitation du château de Preyssac, et de ses écuries où Sanne bichonne les plus jeunes de ses pensionnaires équins, a permis à Lalande Laborie de se spécialiser encore davantage dans le développement d’éléments dans la force de l’âge, qui portent loin la réputation du haras périgourdin.


Informations pratiques :


Publireportage par Hervé Brunaux
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